En 1955 nous sommes entrés en communication avec le citoyen français vivant à cette époque à Toulouse (France) Mr Jacques CADOT; à qui nous avons envoyé trois rapports manuscrits, avec deux entrevues téléphoniques, une fois qu'il ait écrit dans un journal quotidien, un article monographique au sujet des "Soucoupes volantes" .
Ce monsieur, après avoir été surpris et intéressé les premiers jours, finit par nous confesser qu'il croyait que nous étions "un étranger" facétieux qui désirait se moquer et feindre d'être pilote de ces vaisseaux tout en profitant de sa bonne foi . Il fit une critique sévère de notre court récit concernant notre système économique sur UMMO en disant que ce que nous appelions XANMOO AYOUBAA était un projet fantastique issu d'une nouvelle de "Science Fiction".
Il se trouve que depuis quelques jours, la presse de nombreux pays a inclus parmi ses nouvelles, l'information selon laquelle on étudie l'établissement d'un réseau d'ordinateurs sur le territoire du Royaume Uni de Grande Bretagne . Nous vous félicitons, vous hommes de la terre . Nous désirons avec ferveur que l'évolution de l'humanité de cette planète aille en suivant une trajectoire semblable à la notre . Nous désirons aussi que votre esprit analytique sache différencier les fantaisies des auteurs de nouvelles fantastiques des témoignages confirmés par une abondance de documents faisant référence.
Nous ajoutons à ce rapport une coupure tirée de la publication éditée en langue ESPANOZA à Madrid .
Journal YA du 18 Novembre de 1966 page 5 qui cite le projet Britannique déjà cité . Face à cette situation, et malgré qu'à cette époque, nous avions seulement établit que quelques prudentes et sobres relations avec quelques frères de Science et quelques rares Entités culturelles de certains pays, (nous ne cacherons pas leur logique incrédulité) nous reçûmes des instructions formelles d'entamer des contacts avec l'Espagnol Monsieur Sesma Manzano. Les premières réactions de réticence de sa part confirmèrent qu'il ne s'agissait pas d'un homme excessivement crédule, bien que nous maintenions le point de vue signalé en second lieu . C'est seulement quand il reçut une série de preuves que disparut sa naturelle méfiance. Actuellement, mon supérieur en ESPAGNE maintient avec ce Monsieur de fréquentes communications téléphoniques et moi je dicte périodiquement une série de rapports concernant la civilisation de UMMO en utilisant les services mécanographiques d'un fidèle compatriote à vous; à qui nous autoriserons le moment
venu, de témoigner sur les relations maintenues avec nous .
Réellement, la destination de tels rapports était dirigée vers un groupe de personne intéressées, que Monsieur Sesma oriente et dirige depuis quelques années .
Bien que nous craignons, avec raison, que son initiative de sortir "à la lumière publique" ces documents, ne lui donne pas les résultats qu'il escompte nous nous abstenons de freiner son enthousiasme .
Nous sentons que Mr Sesma Manzano va considérer ce que nous allons dire comme ce que vous appelez une "douche froide", mais si nous avions le plus vague doute que de telles révélations pourraient causer un "impact" sur la masse des lecteurs ou se transcender d'une manière désordonnée en engendrant une psychose collective aux graves conséquences; nous nous verrions obligés de freiner par notre silence cet improbable enthousiasme populaire pour des raisons que Mr SESMA a pu constater dans nos écrits . YU 1, fille de AIM 368 à qui nous sommes soumis, nous, tous les membres de cette avancée de UMMO sur la terre, vous envoie son cordial salut . C'est ce qu'elle me demande .
Ecrit DAA 3 FILS DE EEYAA 502
PAR ORDRE DE DEII 98, PAR ORDRE DE DEII 97 . f
UMMOAELEWE
Nombre de copies 01 .
ESPAGNE
Monsieur,
Souvent les hommes de la Terre avec qui nous sommes en contact, posent invariablement la même question :
Si vous êtes si en avance techniquement : pourquoi vous ne nous donnez pas une fraction de votre science ... ?
Je crois que dans des documents antérieurs envoyés à Fernando Sesma Manzano, nous avons fournis des arguments sérieux qui sont évidents pour un quelconque esprit équilibré.
En voici quelques uns:
- si nous vous envoyons des documents techniques de nos équipements actuels, vous seriez incapables de les interpréter avec le niveau physico-mathématique que vous avez aujourd'hui .
- si nous essayons de vous remettre des documents dont le développement mathématique est à la frontière de votre connaissance scientifique, (des experts terrestres), vous n'allez pas croire à leur authenticité (de leur origine) et vous n'allez même pas daigner les analyser en fonction de leur origine .
- si nous envoyons ces documents à des hommes peu préparés, logiquement ils vont être incapables de les juger à leur valeur même si les symboles algorithmiques sont connus des mathématiciens terrestres .
-si la question est, simple nous devons filtrer soigneusement nos documents pour éviter de vous communiquer tout ce qui, directement ou indirectement, pourrait porter préjudice au rythme de votre progrès . Cependant, quelques fois, nous recourrons à une solution intermédiaire . Avec un langage "semi-technique", accessible à des personnes d'un certain niveau technique ou intellectuel, nous apportons des idées que vous pouvez développer en utilisant LES MOYENS ACTUELS DE LA SCIENCE TERRESTRE .
Par exemple, la description d'un récepteur d'ondes GRAVITATIONNELLES ne vous servira à rien si vous ignorez la technique de GIIUULOO (modulation) de telles fréquences, et si vous ne disposez pas des accessoires pour son développement .
Aujourd'hui nous avons voulu vous donner une de ces idées : pendant l'exploration de cette planète, notre attention fut fortement attirée par le fait que tous les appareils utilisés pour l'enregistrement et le contrôle du son (magnétophone tourne disques, systèmes optiques mécanographiques, thermoplastiques etc, etc,) ont besoin d'organes mécaniques MOBILES et de moteurs pour leur fonctionnement .
Nous avons accepté de communiquer à Mr Sesma Manzano, que nous, nous utilisions des anciens appareils dont la technique (avec de petites variations sans importance) pourrait être utilisée par les terriens .
Bien que nous ne soyons pas très optimistes que l'utilisation que vous allez faire du système (nous avons remis des douzaines de documents semblables en suggérant des utilisations intégrantes, mais dès que l'on savait leur origine un groupe d'homme originaires d'une autre planète, ils finissaient dans les corbeilles à papiers) nous faisons encore un essai .
Nous vous offrons l'essentiel de l'idée . Nous avons bien vérifié que les accessoires nécessaires sont déjà sur le Marché terrestre ou qu'il peuvent être construits (comme le tube cathodique spécial) en utilisant des techniques déjà connues sur Terre .
Sinon notre description serait stérile .
Nous avons essayé de synthétiser le plus possible l'idée . Si nous l'avions offert à des laboratoires d'électronique, nous aurions été plus consciencieux dans la description terrestre . Mais, nous n'avons pas l'habitude de traiter avec les groupes financiers de la Terre qui sont en train de maintenir sur cette planète des structures économico-sociales injustes et criminelles à leur seul profit . Si quelqu'un doit profiter de cette idée, autant que ce soit des hommes simples comme vous . Cherchez des conseils et si une telle n'est pas viable, nous vous en enverrons d'autres .
TECHNIQUES UTILISEES AUJOURD'HUI SUR TERRE
Les systèmes d'enregistrement du son utilisés sur terre, sont de genres très différents .
L'enregistrement s'effectue en suivant des critères et techniques différents .
En résumé vous captez des fréquences acoustiques grâce à un transducteur qui convertit les faibles pression exercées sur une membrane, en variations de tension électriques . Surgissent ainsi une variété extraordinaire de microphones (magnétiques, dynamiques, de capacité, de polarisation diélectrique, de charbon etc) ...
Ces faibles fréquences électriques -plus ou moins distordues - sont amplifiées par des circuits électroniques (à valvules ou transistors) pour arriver enfin au véritables équipement d'enregistrement : une valvule ou transistor (ou bien une paire pour les circuits push-pull) fournit une puissance suffisante pour le nouveau transducteur .
Quels sont les transducteurs ou équipements d'enregistrement utilisés aujourd'hui sur Terre .
Nous allons faire un résumé .
ENREGISTREMENT DYNAMIQUE SUR DISQUE / L'enregistrement se fait par des disques de vinyle ou autres substances plastiques, grâce à un sillon sinueux qui s'étend sur la surface de ceux-ci, en trajectoire spirale (disques microsillons) .
ENREGISTREMENT OPTIQUE / Se fait sur les bandes cinématographiques, sur une bande marginale adaptée à cet effet . Les sons se traduisent ainsi en une gamme d'opacités susceptibles d'être postérieurement reproduites avec l'aide d'une cellule photo-électrique .
ENREGISTREMENT MAGNETIQUE / L'enregistrement se fait sur une bande plastique sur laquelle on a déposé une suspension de composés ferriques . La magnétisation de ces petits dipôles reflète avec une certaine exactitude les fréquences acoustiques . On utilise des bandes standard pour magnétophones, des bandes sur film cinématographique, des bandes pour magnétoscopes, des disques et cylindres pour ordinateurs, en dehors des anciens fils ferriques aujourd'hui démodés .
AUTRES TYPES D'ENREGISTREMENT / On a utilisé aussi des bandes perforées, bandes imprimées, optiques par réflexion (à l'inverse des optiques normales en "cinéma") et les modernes enregistrements thermoplastiques . Nous ne devons pas inclure les cylindres et disques pourvus de dents ou protubérances utilisées dans les boîtes à musiques (maintenant anachroniques) .
Mais ce qui nous surprend, c'est précisément la caractéristique commune de TOUS ces systèmes pour l'enregistrement de la voix et de la musique .
TOUS, SANS EXCEPTION UTILISENT DES ORGANES MECANIQUES MOBILES .
Tous exigent l'utilisation d'un moteur (électronique ou à ressort) pour pouvoir fonctionner :
- dans certains cas : comme l'enregistrement des DISQUES, il faut un tour à vitesse constante .
-l'entraînement de la bande magnétique, bande thermoplastique ou film cinématographique, exige divers mécanismes complexes et le moteur correspondant .
Mais, vous connaissez les graves inconvénients de tout système mécanique sur celui purement ELECTRONIQUE : pertes par frottements, usures dues à la friction, inertie excessive pour les MASSES mises en jeu .
Avant de continuer, nous aimerions vous demander s'il existe un système terrestre capable d'enregistrer et reproduire des sons (PHONIE, MUSIQUE, CODES) au moyen d'un équipement TOTALEMENT ELECTRONIQUE, sans aucun organe mécanique et sans moteur .
Comme nous ne savons pas s'il existe, nous sommes peut-être en train de vous orienter d'une manière aberrante, auquel cas un tel système (celui que nous préconisons) est inutile. Mais sinon il présente le grand avantage d'être réalisable avec la technique terrestre actuelle (demandez à vos frères) (écrit à la main N.D.T) .
L'idée que nous allons vous présenter est inspirée de nos très anciens IBOTZOOIXINAA; qui ont un élément qui ressemble vaguement aux actuels rayons cathodiques terrestres . Nous ne voulons passer allonger le document en les décrivant, car les différences de techniques ne vous permettent pas de les réaliser . Cependant nous pensons qu'en remplaçant ses composants par d'autres de la terre, le résultat et le fonctionnement seront similaires nous allons vous décrire deux projets : nous essayerons de résumer l'idée essentielle de ces équipements car n'importe quel ingénieur ou technicien spécialisé, pourra résoudre facilement les problèmes posés par certains accessoires ( cellule photo électrique, amplificateurs électroniques, format du tube cathodique) ...
PROJET DE L'APPAREIL ENREGISTREUR DE SONS
Il faut le dessin d'un tube cathodique qui réussisse les conditions exigées pour le projet . La modulation du faisceau électronique se réalisera très bien grâce à la grille WEHNELT ou aux anodes . Condition indispensable: (comme vous pouvez le supposer), le (IBOZOO) spot sur l'écran fluorescent doit être du plus petit calibre possible, annulant ainsi tout effet secondaire de radiation.
Par exemple, l'équipement serait irréalisable si vous ne ne pouviez pas neutraliser grâce à des "Pièges ioniques" ce que vous appelez tache ionique (mais selon mais selon nos renseignements vous savez déjà le faire) .
L'IBOZOO (spot ou point) doit être de diamètre constant .Seule son intensité pourra varier entre et la valeur limite. La déflexion du faisceau peut être réalisée grâce à des plaques déflectrices électrostatiques et par commodité de description, nous allons le faire de cette manière .En pratique, il faudra remplacer cette déflexion par une autre qui sera électromagnétique, en utilisant des (sommiers ou poëles ou joug ? N.D.T) qui ressemblent aux tubes d'images pour télévision . La finesse du spot exigera naturellement que vous fassiez une étude préalable de ce que vous appelez à tort "phosphore" de l'écran, ou substances fluorescentes adaptée, dont le calibre de grain doit s'adapter à ces exigences .
La mise au point du faisceau cathodique doit être plus exacte que celle obtenue parles tubes à images ou par les oscilloscopes d'analyse que vous utilisez . De plus, ces problèmes secondaires résolubles par vos techniciens ne doivent pas nous écarter de notre objectif primordial .
ENREGISTREMENT OPTIQUE
Si vous analysez le système, vous observerez qu'il utilise trois idées basiques agglutinées dans l'équipement
(1) .Un registre optique : grâce à une image gravée sur plaque photographique normale (base plastique et émulsion de sels d'argent) qui doit être révélée pour sa reproduction ultérieure, en utilisant des émulsions réversibles (si on le désire directement) ou négative pour obtenir des copies .
(2)Un balayage d'image qui doit être spirale .
(3)La plaque photographique est immobile, à l'inverse de l'enregistrement optique de pellicules cinématographiques. C'est le faisceau cathodique d'inertie presque nulle) et non un organe mécanique qui réalise l'enregistrement .
DESCRIPTION DE L'EQUIPEMENT
Vous pouvez parfaitement en distinguer trois parties : un circuit amplificateur : les caractéristiques de ce circuit électronique sont semblables à celles de vos circuits amplificateurs de VIDEO . Dans le graphique (IMAGE 1) nous avons signalé l'un d'eux, sans en spécifier les valeurs . Vous pouvez utiliser indifféremment des transistors ou des valvules . Nous acceptons aussi le fait que ne soit pas indispensable un amplificateur dont la fidélité de réponse s'étende à une si grande marge de fréquences (de 10 cycles à 4 Mégacycles) car dans la pratique cette marge se réduira seulement aux fréquences audibles dont les harmoniques les plus élevées ne dépassent pas les 25000 cycles/seconde. Il n'est pas nécessaire d'avoir une absence totale de distorsion de phase car l'ouïe de l'OEMII (corps humain) est peu sensible à une telle anomalie . Il faut un préamplificateur microphonique dont les caractéristiques seront fonction du transducteur phonoélectrique (microphone) utilisé par l'appareil .
CIRCUIT DE BALAYAGE
De la même manière que vous utilisez, en télévision pour la déflexion du faisceau cathodique, des circuits générateurs d'onde en forme de dent de scie, il faudrait que le balayage de l'écran ne soit pas réalisé avec la double trace de ce système, mais plutôt avec une trajectoire AUAIIAUOO (spirale d'Archimède).
Nous vous suggérons le procédé suivant, qui simplifiera l'obtention du balayage spiral .
VOIR FIGURE N° 2
Les plaques déflectrices (de gauche) image n° 2, signalées par la lettre A, sont affectées par les générateurs "D" et "Y" capables d'administrer une fréquence de la forme :
générateur "D" : => Vy = Vo SIN( t)
générateur "E" : => Vx = Vo SIN ( t + M/2)
Dans ces conditions, l'IBOZOO (spot) décrira une trace parfaitement circulaire (image 3) . Si le générateur F est capable d'osciller en fournissant une fréquence "dent de scie" (image n°4 en supposant l'action de D et E comme nulle) la trace serait droite (radiale) plaque déflectrice de forme tronconique) .
En combinant les trois fréquences et en graduant la dernière citée en fonction du pas (passage) de spiral que l'on désira (celui-ci doit être très petit si l'on désire un enregistrement de longue durée de l'ordre de 0.001 mm) * (chiffre sous réserve, écrit à la main avec le 3ème zéro presque illisible, donc incertain N.D.) .
Nous obtiendrons ainsi une trace spirale ((image 6) en réalité l'image dessinée exagère le passage réel) qui devrait être de l'ordre de quelques douzaines de microns terrestres . Voilà donc, la description de cet équipement; le fonctionnement est simple à comprendre il est plus facile encore si vous imaginez un disque microsillon sur lequel vous remplacez l'aiguille de grande masse ou inertie, par une autre "aiguille d'électrons" (faisceau cathodique) qui n'a pas besoin de moteur pour défiler à grande vitesse .
Le microphone capte les sons qui sont amplifiés pour attaquer le grillage WEHNELT du tube cathodique .Les variations de l'intensité sonore se traduisent ainsi en variations d'intensité électronique du faisceau . Le spot lumineux va en défilant sur sa spirale pendant que varie le rythme de sa brillance ( brillance = mot qui correspond à la flèche de l'image 7 N.D.T), on obtient ainsi sur la plaque (UULIXINAA = plaque photographique pour l'enregistrement du son) une trace en spirale qui, après le processus normal de révélation (il est nécessaire de faire une émulsion photographique de grain fin et de sensitométrie adéquate) présenterait un aspect que nous dessinons dans l'image n°7 . Trace qui vous fera sans doute penser à l'aspect de la bande sonore d'un film cinématographique commercial .
Pour éviter, des distorsions dans l'enregistrement et reproduction, le support photographique doit être rigide ou au moins pourvu d'un cadre protecteur qui empêche tout effet aberrant à cause du gondolement pelliculaire .
DESCRIPTION DE L'APPAREIL POUR LA REPRODUCTION
(audition du son)
Le même équipement peut-être utilisé pour la reproduction . Nous allons schématiser dans l'image n°8 cet, cet appareil.
La grille WEHNELT ou de contrôle, ne sera pas soumise à des variations de tensions comme dans le processus d'enregistrement . Ceci signifie que le IBOZOO (spot ou point) maintiendra un régime constant rigoureux, sa brillance glissant aussi sur une trajectoire spirale aux mêmes caractéristiques décrites dans les paragraphes précédent, car dans le régime, les signaux engendrés par les oscillateurs de DEFLECTION n'auront pas variés .
CONSTANTE DE FREQUENCE DE BALAYAGE ET DE TENSION MAX
Si maintenant nous intercalons la UULIXINAA (plaque optico-phonique) entre l'écran du tube cathodique et le disque de même diamètre dessiné dans l'image n°8, composé par une cellule photo-électrique ou photorésistance, celle-ci recueillera le spot lumineux au travers de la piste optique gravée en traduisant la gamme d'opacité de celle-ci en signaux électriques qui seront amplifiés par un circuit transistorisé et diffusés par le haut-parleur .
Pour mieux le comprendre, imaginez le processus d reproduction par une cellule cinématographique (image 9).
Ici la lampe excitatrice a été remplacée (image n°10) par le faisceau cathodique, et la valvule photovoltaïque par une cellule moderne .