Nous allons maintenant vous révéler un aspect de la biogénétique qui, si quelque expert d'OYAGAA le lisait, serait considéré par lui comme une inadmissible aberration, une hérésie inconcevable dans le contexte de la génétique terrestre.

La réserve génétique d'une espèce, d'un phylum, souffre, comme vous le savez, de dérives au long du temps, de mutations, de migrations, de phénomènes de sélection par l'action du milieu ambiant...

Il pourrait sembler que les différentes classes d'animaux pourraient évoluer, en se perfectionnant bien sûr, mais en s'éloignant chaque fois plus de la forme hominienne. Il ne semblerait pas étonnant à vos biologistes que les actuels équidés se transforment par des mutations successives en animaux plus sveltes et plus corticalisés mais très différents de l'anatomie des humains.

Il n'en est pas ainsi : les différentes espèces, par l'évolution, doivent converger nécessairement vers des structures humanoïdes (hominiennes.) Vous pouvez le constater sur le graphique. Si, sur OYAGAA une branche de protomammifères dériva en branches successives de mammifères, si l'un de ces phylums se transforma en primates, si de ceux-ci dérivèrent les divers hominidés jusqu'à arriver à l'Homo habilis et aux branches ultérieures, ce fut parce que des mécanismes de sélection et des patrons du B.B. accélérèrent la transformation dans cette dérive du génotype. Tôt ou tard les autres animaux auraient fini par se transformer en êtres très semblables à l'Homo sapiens.

Autrement dit : Si les OEMII de la Terre disparaissaient, en même temps que les pongidés, les cercopithèques, les platyrrhiniens, et même le reste des mammifères, les classes restantes finiraient par se cristalliser en nouveaux OEMII (grâce à une ramification plus accélérée au début).

Ceci ne veut pas dire que tous les OEMII soient identiques. Au contraire, il apparaît des différences anatomophysiologiques parfois très sensibles. Par exemple, nous autres OEMII d'OUMMO, présentons des différences génotypiques et par conséquent phénotypiques accusées. Si un médecin de la Terre nous examinait; il observerait des particularités surprenantes. De la même façon, un hominien dérivé en plusieurs millions d'années à partir d'un gastéropode présenterait d'autres singularités anatomiques significatives.

Deux OEMII provenant de réseaux sociaux planétaires différents ne peuvent pas s'apparier pour la seule raison d'avoir un sexe différent et une morphologie quasi identique. Ainsi : une femme d'Oummo et un homme de la Terre seraient incapables d'engendrer des enfants sans caractères tératologiques. Seule une manipulation de notre part du génome des deux planètes pourrait donner comme fruit une espèce stable (Nos UA (lois morales) interdisent aujourd'hui une telle possibilité).

L'OEMII est donc l'ultime produit de l'évolution. Mais un humain peut à son tour évoluer en perfectionnant son neurencéphale et, bien sûr, le reste du phénotype (vous-mêmes êtes précisément dans une phase précoce de cette évolution du phylum Homo). Ce qui se passe, c'est qu'à partir d'un point du processus de corticalisation (développement du cortex et par conséquent de l'intelligence), l'humain arrive à comprendre les bases biogénétiques du cosmos et atteint les bases théoriques et pratiques pour modifier son propre génome sans avoir besoin d'espérer que le processus normal de dérive, de mutation et de sélection, l'altère et le perfectionne.
 
 

AYUBAAYII : Nous avons déjà dit que c'est un être vivant, mais sur OUMMO ce phonème représente beaucoup plus. Sa signification exacte serait :

AYUBAAYII : réseau d'entités dont l'entropie est négative, autoreproductibles,

et qui contiennent en leur sein une information codée au niveau biomoléculaire.

AYUBAAYII est par exemple un animal supérieur, comme l'OEMII lui-même, mais aussi une colonie de virus, un groupe de fourmis (c'est-à-dire son espèce), l'association d'un parasite avec son hôte, un groupe de personnes humaines, ou l'ensemble total des êtres vivants qui peuplent un astre froid. C'est-à-dire que l'AYUUBAAYII est mathématiquement "l'ensemble" mais aussi n'importe quel "sous-ensemble".

Mais, ce qui caractérise réellement l'AYOUBAAYII ce n'est pas d'être un simple agrégat d'êtres vivants, mais que ce réseau soit dirigé, modulé, guidé par le WAAM BB (UNIVERS DE MASSE INFINIE ET DE RAYON CONSTANT). L'évolution d'un réseau d'êtres vivants sur une planète froide ou une étoile froide n'est pas régie par les simples lois du hasard. Les organismes envoient des données au sujet de l'environnement au WAAM BB . Celui-ci traite ces données et RÉPOND en envoyant des signaux (des patrons de comportement) pour l'évolution. Ce processus, nous l'appelerons en terrien en utilisant un néologisme : ORTHOGENÈSE.

Ainsi un AYAUUBAAI comme l'OEMII est un agglomérat de cellules en unités histologiques qui constituent les organes et les structures de soutien, mais le RESEAU est supervisé dans sa structure par BB dont nous parlerons plus extensivement.

WAAM BB: c'est sans aucun doute l'Univers le plus important de la création de WOA (GÉNÉRATEUR ou DIEU). WAAM BB est un univers singulier, l'un des univers du waam-waam (adjacent cependant à WAAM B et relié aux autres waam grâce à l'existence dans ceux-ci d'une masse imaginaire ± Ö -1 m.)

WAAM BB a une masse infinie qui se divise en parties égales en MASSE DE MATIÈRE et MASSE d'ANTIMATIÈRE (+ m et - m). Son rayon est constant et il ne possède pas de masse imaginaire. La vitesse du photon en son sein est infinie. (Le concept de masse infinie se réfère à la totalité de cet univers; cela ne veut pas dire que les singularités massiques de cet univers soient hyperdenses). C'est l'unique univers, en plus du WAAM B, où le concept d'AYUUBAAYII (réseau vivant) n'a aucun sens. (Exprimé en termes courants : ici il n'existe aucune galaxie, planète, animal ou végétal, roche ou possière. Nous allons essayer de décrire le WAAM BB.

Si nous pouvions "voir" ou pénétrer dans cet Univers si étrange, nous apercevrions un conglomérat confus de filaments et de nodules flottants dans l'espace. Une partie de ces filaments est de masse (+ M) et une partie de masse (- M). Cela nous surprendrait d'observer que se produit une "explosion" quand certaines de ces fibres entrent en contact. (En réalité, c'est la dispersion de nodules et de filaments et la libération d'énergie qui contribue à ce que les filaments et les nodules voisins s'éloignent entre eux en compensant leur attraction gravitationnelle.) Cela nous surprendrait d'observer entre ces faisceaux de filaments des flux de quantons de grande énergie qui se propagent à une vitesse infinie. (Il est nécessaire de préciser que le concept mathématique d'INFINI oo a ici - monde physique - une signification réelle quelque peu différente. Un exemple pourrait, peut-être illustrer ce que nous voulons dire. Une valeur telle que 12n, en prenant pour "n" n'importe quelle valeur supérieure à un quintillon [1030] -approximativement-, sera considérée par les physiciens d'Oummo comme AIGIOXAA "infinie" ; un concept différent d'AIGIOXUOC (l'infini mathématique) pour lequel "n" aurait une valeur supérieure à n'importe laquelle que vous pourriez imaginer).

Les GOOINUU UXGIIGII sont ces filaments pourvus de masse situés dans un cadre tridimensionnel.

Si nous pouvions les visualiser, leurs formes seraient approximativement ainsi :

image 6

Les nodules doivent avoir une densité (en unités de la Terre) de 10 .18,3 grammes/cm³ [Ndt ~2.1018] (densité se référant au cadre tridimensionnel de notre WAAM) valeur qui atteindrait dans notre Univers celle d'une étoile à neutrons.

La masse filamenteuse peut atteindre des densités entre 107,2 et 105,8 g/cm³ [Ndt : 1,6.107 <--> 0,63.106].

Le filament entre deux nodules peut entrer en vibration longitudinale périodique (propagation axiale) oscillant en onde stationnaire. Cette oscillation a une signification d'INFORMATION. Exprimé d'une autre façon: GOOINUU UGIIIGI (chaîne massique) code et décode l'information, la stockant dans sa zone filamenteuse et l'éjectant ou la consommant par chaque paire de nodules.

Nous disons qu'un observateur enregsistrerait ces grandes chaînes se croisant dans l'espace sans se toucher -sauf en de rares occasions- et pourrait mesurer une température dans leur masse telle qu'elle leur permet d'émettre des quantons énergétiques (photons). (Observez que dans ces chaînes, la matière, sauf dans les sections filamenteuses, n'est pas formée d'atomes mais de particules fortement comprimées sans charge électrique. Il n'existe donc pas de couronnes électroniques ni donc d'orbitales dont les électrons puissent émettre de l'énergie quantifiée en changeant de niveau.) La source d'énergie thermique est constituée des impacts de masses (+) avec des masses (-).

Mais la conception globale de cette structure est plus complexe. Le cadre réel est pentadimensionnel. Un réseau d'ibozsoo uhu pourrait se concevoir dans l'hypersespace des trois dimensions plus le temps, plus OAWOO (dimension orientée des I.U.) comme de véritables "membranes" (XOODII) qui unirait les "nodules " cités entre eux.

Ce réseau hyperspatial complexe possède les fonctions suivantes :

- ENREGISTRER L'INFORMATION (la stocker),

- TRAITER LES DONNÉES (étant donné qu'il est formé d'authentiques amplificateurs photoniques).

De tels XOODII sont en réalité des réseaux d'I.U. qui présentent la particularité de fournir d'immenses quantités d'énergie !!! NON QUANTIFIÉE !!! quand le réseau est excité par un seul photon (quanton).

Nous appelons LEEIIYO WAAM (Effet Frontière) une famille de phénomènes qui se passent dans le XOODI WAAM (frontière ou membrane entre deux cosmos "adjacents" (qui peuvent intercommuniquer)).

Les effets frontières "observables" sont nombreux :

[Il en existe beaucoup plus qui n'ont pas encore été observés par nos scientifiques]

quelques LEIIYO WAAM: * La masse imaginaire " ± Ö -1 m d'un WAAM peut provoquer des effets de plissement et de "pression" sur un autre WAAM.

* Une pression critique de valeur supérieure à quinze millions d'atmosphères en synchronisme avec un champ magnétique intense OXAAIUYU provoque un LEEIIYO (changement d'axes des I.U.), ce qui explique la OAUOOLE IBOZOO (Inversion corpusculaire qui permet à nos nefs de voyager par l'intermédiaire d'un autre WAAM).

* Le plus transcendant "LEEIYO WAAM" (effet frontière) se manifeste grâce à l'existence de deux facteurs attachés aux êtres vivants (des nuages d'atomes de Kr).

* BAAYIODUU relie le génome d'un être vivant au BB .

* OEMVUUAUW relie le cerveau à BB et à B .

Aussi bien le BAAYIODUU que le OEMVUAUW, moyennant leurs sauts quantiques codés, excitent une région du WAAM BB . En réalité, ils excitent ou stimulent au moyen d'apport d'information la XXODII de cet environnement. Le transfert s'effectue par l'inversion d'un saut quantique codé (dans notre WAAM) en un photon dans le sein de l'autre WAAM BB.

Ce photon est "inversé" par XXODII et transformé en un flux macrophysique d'énergie (un peu semblable à ce qui se passe dans notre WAAM quand un photon tombe sur un cristal en provoquant une cascade d'électrons).

La première phase du processus consiste en un enregistrement de la DONNÉE. L'information se grave sur le GOOINUU UGIIGI sous forme d'ondes stationnaires au sein de la section filamenteuse. S'ensuit après, un traitement complexe de l'information, que nous développerons dans un autre rapport.

En récapitulant : Quand nous voyons, sentons ou touchons un objet comme un coquelicot, l'information passe de nos neurocepteurs au cerveau. Celui-ci traite l'information et la stocke, mais en même temps il la transfère à une chaîne d'atomes de Kr dont les électrons périphériques la reçoivent et la "transmettent" à un autre univers (WAAM BB ) (base du PSYCHISME COLLECTIF) et au WAAM B base de l'Âme individuelle).
WAAM BB est un continuum pentadimensionnel avec des singularités de masse en forme de filaments à n?uds, divisé en 'cellules" ou "environnements" séparés entre eux (Nous ignorons la nature de cette séparation et s'il existe réellement un transfert d'information entre eux). 

Chaque cellule reçoit le nom de BUUAUE BIAEI (B.B.) "Esprit ou Âme collective" .

image 7 Il existe autant de B.B. que d'AYUUBAAYII (réseaux d'êtres vivants planétaires) dans tout le WAAM-WAAM. Il y a une correspondance biunivoque entre chaque ensemble d'êtres vivants sur un astre froid et son B.B. correspondant.

Exprimons cette notion d'une manière plus didactique .

Vous les hommes de la Terre, êtes intégrés dans un Réseau vivant (la biosphère terrestre) qui contient depuis le plus humble viroïde jusqu'aux mammifères supérieurs de toute espèce y compris l'Homo sapiens.

Eh bien! dans WAAM BB on peut localiser spatiotemporellement une "cellule" ("gigantesque", une véritable "galaxie") appelée par nous BB d'OYAGAA

Tous les êtres vivants envoient de l'information à ce grand CERVEAU COSMIQUE. Le BB ou ÂME COLLECTIVE est plutôt un encéphale extracosmique, étrange pour vous, qui emmagasine, code, décode et traite l'information en provenance de tous les êtres vivants de la planète froide.

Mais le lien qui l'unit à une bactérie, un crabe ou une gazelle est seulement le BAAIYOODU UHU (le codage d'information dont le concept ne comprend pas seulement le nuage d'atomes de krypton mais encore son intégration dans BB ). Un poisson envoie de l'information sur ses gènes et le milieu ambiant, et reçoit seulement des patrons de forme ou des patrons de génotype pour moduler ses mutation. Ceci est le seul lien qui unit un animal inférieur au B.B.

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