Note 4 : L’effet OAWOENNIUU


Pour comprendre l’effet OAWOENNIUU (résonance nucléaire) il faudrait vous expliquer notre théorie de la constitution de l’espace et de la matière. Je vais essayer de vous formuler un résumé en utilisant des concepts qui vous sont familiers.

Supposez par exemple un ensemble numériquement réduit d’atomes de molybdène : par exemple Mo1, Mo2, Mo3...Mo114 dont les noyaux présentent la particularité, en un instant déterminé, d’avoir une configuration identique de leurs niveaux énergétiques se référant à la distribution des nucléons. Le fait que les niveaux quantiques de leur écorce électronique soient différents ou que les orbites de ceux-ci soient répartis dans un quelconque enchainement chimique, nous fait alors dire que ces atomes sont OAWOOENI (en résonance)

Nous savons aussi qu’un quelconque corpuscule atomique (neutron, proton, méson K, etc.) est en réalité une projection différente, dans un cadre tridimensionnel, d’une même entité mathématique-vraie que nous appellons IBOZOO UU (jusqu’au seul niveau où nous accordons dans le WAAM (univers) l’attribut de vrai ou d’existant à l’IBOZOO UU)

Vous pouvez vous imaginer l’IBOZOO UU par une image didactique, comme un " faisceau " ou " paquet " d’ "axes idéaux " dont les différentes orientations poly-directives donneraient lieu à ce qu’un physicien interprète ce " faisceau " ou " fagot " (ou " hérisson ") aux multiples pointes orientées, certaines fois comme un quantum, et d’autres fois comme une masse, une charge électrique, un moment orbital, etc. Elles représentent en réalité les différentes orientations axiales de l’IBOZOO UU de la même manière que les différents tons chromatiques ont comme base une fréquence différente dans le spectre électromagnétique.

Imaginez que nous essayions de désorienter, au sein de l’atome Mo1, un seul nucléon (un proton par exemple) ; il peut arriver que l’inversion ne soit pas absolue, dans ce cas en l’effet observable par vous serait la conversion de la masse du proton en énergie.

d E = m C2 + K : m étant la masse du proton et K une constante.

On obtient ainsi un isotope de Niobium. Mais nous pouvons forcer la désorientation des " axes " de l’IBOZOO UU (inversion absolue) d’une manière telle qu’un physicien observateur verrait, surpris, que le proton semble avoir été annihilé sans libération d’énergie. Ce phénomène vous semblerait contredire le principe universel de conservation de masse et d’énergie (conservation mise justement en doute par d’autres physiciens de la Terre ; en effet les hypothèses formulées par quelques Terrestres sur l’actuelle création de matière dans l’univers se basent en réalité sur le fait qu’effectivement les ensembles d’IBOZOO UU s’inversent totalement dans notre cadre tridimensionnel, étant observables par ceux qui y vivent).

Vous observerez alors un atome de Niobium ionisé négativement. Sans aucun doute, le reste des n-1 atomes de Molybdène ont subit une altération dans leurs niveaux énergétiques nucléaires, de manière que l’énergie nucléique de chacun de ces atomes se développe en

( équation sur demande à Méta )

L’énergie transférée aux noyaux des atomes qui restent, par cet effet de résonnance, est quantifié de manière à pouvoir arriver à être nulle pour un atome de l’ensemble situé à une distance R supérieure au seuil défini.

 

Ainsi, si nous arrivons à exciter un atome de Molybdène (Mo1) situé dans un organe émetteur ( ..........) (image C) en intervertissant un de ses nucléons, nous noterons dans un organe récepteur (..........) contenant un autre Mo2, une altération quantique dans ce dernier, d’autant plus élevée qu’il y aura moins d’atomes parasites en résonance à proximité.. Il faut préciser que le transfert d’énergie ne s’est pas fait grâce à un champ excitateur afin que le temps de transmission soit nul (nous parlons alors de vitesse de transférence ou de flux informatif infinis).

Ce principe physique faciliterai apparemment la mise au point de système de communication " instantannées " à d’énormes distances interplanétaires, pour qu’un message ne mette pas plusieurs années-lumière pour arriver à destination.

Malheureusement, ceci est irréalisable dans la pratique, car l’existence d’atomes perturbateurs ou parasites en liberté, en résonance avec l’émetteur, absorberait toute l’énergie du système. Une partie quantifiée de celle -ci n’arriverait donc jamais à être transférée par résonance à un atome si éloigné. Ce qui fait que dans les alentours du Réseau n’existent pas des masses d’un élément chimique semblable qui atténue les signaux transmis.

 

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Serge Boisse