Note 6 : Les conditions de vie de l'équipage d'une UEWA


Comme nous vous l'avons indiqué, l'équipage de l'un de nos vaisseaux ne se trouve pas dans la ENNAOEI même ( image 1 : num 2 ). Au contraire, cette structure en forme de cavité possède à l'intérieure une seconde structure flottante annulaire et creuse que nous nommons AYIYAA OYUU; à l'intérieur de laquelle se trouvent non seulement les voyageurs, mais aussi toute la gamme d'équipements auxiliaires transportés et une série de dispositifs de contrôle et de détection directe ( images 3 ). La situation de cette CABINE FLOTTANTE pourvue de sorties ou écoutilles que nous appelons IMAA ( image 1 : num 15 ) à l'intérieur de la cavité YAAWAIUU peut présenter deux Phases. ( Voir Phase OEE et Phase AGIOA ).

Le EEWEANIXOO constitue ce que vous appeleriez un scaphandre ou vêtement ( ou "combinaison" ). En réalité cette protection est progressivement remplacée par d'autres aux caractéristiques différentes pour certaines conditions de vol. Le EEWEEANIXOO OOE est précisément utilisé pendant la phase dans laquelle la AYIYAA OAYU ou cabine toroïdale ( Image UEWA num 12 ) est remplie d'une gelée que nous appelons TAXEE. Cette masse gélatineuse, en dehors d'autres fonctions, agit comme un amortisseur pendant le processus accélérateur de la UEWA.

L'OEMII voyageur est ainsi "encastré" au sein de cette masse visqueuse, directement isolé de ses frères et soumis à la dynamique d'accélération qui ont quelquefois dépassé les 245 mètre/(seconde*seconde) ( bien que ces points dans la fonction vitesse durent peu de fractions de UIW ).

La description aussi bien de ces "vêtements" que du système BIEWIGUU AGOYEE ( contrôle psychique et physiologico-biologique ) exigerait sur le plan de la divulgation autant de pages qu'en contien ce document. ( 50 pages NDR ). Comme résumé nous vous indiquerons que le EEWE ( vêtement ) est une membrane complexe qui entoure d'une manière périphérique le corps du voyageur sans que sa surface établisse un contact quelconque avec l'épiderme de l'OEMII (corp humain ).

L'ensemble se trouve situé dans la masse gélatineuse d'une façon telle, qu'au moment où va se produire une accélération dans une direction déterminée, la substance gélifiée se liquéfie dans l'environnement, et le corps du voyageur adopte avec l'aide extérieure une posture apte à rendre les effets minimes. L'enceinte qui sépare la surface interne du EEWEEANIXOO OOE de la peau humaine, est rigoureusement contrôlée en fonction du degré de vasodilatation capillaire de l'épiderme et de la transpiration de celui-ci. De cette façon, la chaleur métabolique du corps adopte les valeurs normales pour les conditions habituelles du voyageur. Pression, absorbtion de dioyde de carbone, régulation de l'azote, oxygène, vapeur d'eau et autres composants du gaz composé intérieur, sont autorégulés en fonction de l'information que proposent les détecteurs qui contrôlent à chaque instant les activités métaboliques et physiologiques de l'appareil respiratoire, circulatoire et épidermique.

Les équipements de contrôle physiologique ont été dotés de sondes traductrices qui vérifient presque toutes les fonctions organiques, à l'intérieur des tissus organiques, sans que l'introduction de tels UAXOOEXY soit nécessaire. Depuis l'activité musculaire et l'évaluation des niveaux de glycogène et acide lactique, jusqu'au contrôle complexe de l'activité neurocorticale qui fournit des faits précis sur l'état psychique du sujet, toute la gamme des dynamismes biologiques est enregistrée et fournie à ce courant informatif à travers près de 2.16 10 puis. 6 canaux informatifs jusqu'à un XAANMOO qui, après les avoir comparés avec des modèles standard, "dicte" les réponses effectrices ou motrices aux organes du BIEWIGUU AGOIEE.

L'alimentation s'effectue par l'introduction de pâte par voie buccale. Quelques aliments et l'eau sont introduits sous forme de capsules avec un emballage insipide qui se dissout au contact de la salive. Le degré thermique varie dans les différentes zones périphériques de l'enceinte. La sensation que nous éprouvons dans le voyage pendant la phase OEE durant les intervales où l'accélération est nulle ou modérée, peut se définir comme étant une paisible sensation de flottement dans un matelas d'air tiède. On ressent à peine les effets vestibulaires provoqués par la rotation de la AYIYAA OAYUU pour créer une gravité artificielle due à l'introduction à proximité du labyrinthe membraneux de deux dispositifs de contrôle grâce à une simple opération chirurgicale (deux en forme d'aiguille sont introduits sans abîmer les tissus ni le réseau artériel et neuronal).

L'enceinte qui sépare l'épiderme du EEWE subit, au niveau du visage, un élargissement considérale de forme tronconique. La base d'un tel tronc cernant depuis l'oeil jusqu'à une distance de 23 centimètres, avec un angle de 130 degré sexagesimaux, représente un panneau (au sens d'écran (NDT)) pourvu sur sa surface de quelque 16.10 puis.7 centres exitables capables de diffuser ( retransmettre (NDT)) chacun, avec divers niveaux d'intensité, tout le spectre électromagnétique entre 3.9 10 puis. 14 et 7.98 10 puis.14 cycles/seconde. La définition des images obtenues est suffisamment élevée pour que les deux yeux ne puissent faire la différence entre les perceptions visuelles normales et celles engendrées artificiellement par cet organe [ ND méta-sciences : à titre indicatif la résolution de cet écran est environ 200 fois supérieure à nos écran 1024/768 et quant au spectre visible, c'est le même que pour les OEMII de OYAGAA ;-) ] La vision binoculaire est réalisée grâce à la disposition prismatique de chaque centre émetteur. L'excitation de faces opposées, pour que seul un des deux yeux n'ait pas accés à l'imageoumosaïquede l'autre, se réalise d'une manière très complexe ( Image A manquante )

Un transducteur enregistre les champs électriques engendrés par les muscles oculaires des deux globes ( véritables électro-myogrammes ). Le XANMOO connaît ainsi, à chaque instant, l'orientation de l'axe de la pupille. D'autres part, les prismes excitables qui composent le panneau ( ces derniers étant de dimensions microscopiques ) sont situés sur la surface d'une couche d'émulsion visqueuse qui leur permet de tourner librement. Ces prismes sont contrôlés mécaniquement par un champ magnétique double, pour que la moitié d'entre eux obéissent à un composant horizontal et l'autre moitié à un composant transversal. De cette manière l'un et l'autre groupe orientant leurs faces indépendamment comme deux stores vénitiens utilisés par les terrestres orientent indépendamment leurs lames quand on tire sur les cordes qui règlent l'angle pour l'entrée de la lumière. ( dans ce cas les "cordes" seront les deux champs magnétiques, et le facteur moteur la réponse du XANMOO aux micro-mouvements musculaires du globe oculaire.)

La perception binoculaire offre des images en relief normal, pour que le sujet croie qu'il est en train de vivre un monde réel loin de l'environnement et de la masse gélatineuse qui l'enveloppe. Il peut essayer de prendre les objets qu'il " voit près de lui " et comme la liberté de mouvement est large malgré la résistance du milieu visqueux, il est conseillé "d'essayer" pour éviter l'inactivité musculaire. ( ND Méta-sciences : il est étonnant de voir qu'en 1968, les oummites annonçaient une technologie que nous sommes en 1997 en train de mettre seulement au point. La similitude avec les casques d'immersion virtuelle est étonnante ainsi que la détection de mouvement des pupilles utilisée maintenant dans les casques des pilotes d'avions de chasse tels que le rafale ou dans les prototypes de détection d'endormissement des conducteurs de véhicules. Quant à la perception du relief, la méthode oummite est très novatrice mais pas absurde sur un plan technologique. Qui aurait supposé il y a 30 ans !! qu'on développerait une telle technologie avec autant de détails, et rappelons qu'en 1968 un ordinateur c'était une pièce entière bourrée de composants à lampes ou transistors, cela se programmait avec des cartes perforées et quant aux écrans, c'était plutôt des tonnes listings.. ).

Les stimuli acoustiques sont synchronisés avec l'image. Le voyageur peut voir les visages de ses frères, parler avec eux ou se plonger dans le paysage figé du ANAUGAA ( espèce d'arbre ) de nos lointaines forêts de OUMMO. Deux YOYGOAAXOO logés dans les fosses nasales fournissent en séquences, moins riches que dans le milieu naturel mais suffisamment rapides, des programmes de IAIKEAI (stimuli olfactifs ) synchronisés aussi avec les images. Ceci est un des aspects du contrôle psycho-biologique auquel est soumis le frère voyageur. Nous pouvons à volonté visualiser les équipement de contrôle de la UEWA ou lire un texte d'étude. Un des moyens parmi les plus intéressants est BOOGOO. Grâce à ce système les mouvements musculaires imitant la préhension d'un stylet ( vous l'appelleriez crayon ou pinceau ) sont injectés après leur enregistrement au XANMOO. Celui-ci ordonne les réponses de la main comme si celle-ci avait effectivement fait un dessin, un graphique ou un texte. L'image artificielle de cette composition fictive apparaît sur le panneau binoculaire comme si nous avions effectivement dessiné sur une surface de tels caractères graphiques. ( NDM-S : technologie utilisée maintenant dans la chimie pour modéliser des molécules en 3D, en imagerie médicale et détournée par des sculpteurs pour créer des oeuvres virtuelles en volume. Nous sommes toujours en 1968 ! épatant... ).

Un dispositif intégré dans le rectum recueille la défécation du voyageur. Celle-ci est en premier lieu déshydratée, les résidus sont ensuite, par une analyse chimique rigoureuse, dissociés et transmués en O2 ou autre élément chimique gazeux. Quelque chose de semblable est réalisé avec l'urine pour que l'eau chimiquement pure des deux excrétions ajoutée à celle qui reste de l'enceinte gazeuse de la EEWE ( dont le degré d'humidité est une fonction continuellement régulée ) soit remise aux réservoirs centraux sous forme de vapeur.



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