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Auteur: Serge Boisse
Date: Le 22/03/2023 à 16:03
Type: web/MOC
Tags: pollution,écologie
pub: oui
commentaires: oui
On ne le sait pas assez, mais la première cause de pollution de l'air que nous respirons, c'est le... tabac. Ne fumons pas chez nous, aérons régulièrement nos maisons, et on aura fait un grand pas en avant !
Ceci dit bien sur il y a d'autres causes de la pollution de l'air :
Le résultat de toutes ces pollutions est que l'air que nous respirons est, de plus en plus, chargé de composés chimiques complexes et souvent cancérigènes. Une étude canadienne du SNSAC vient de conclure à une corrélation indubitable entre le lieu de résidence et le taux de cancer. Bien qu'il ait été prouvé maintes et maintes fois que l'augmentation ahurissante et quasi exponentielle du nombre des cancers trouve son origine dans la pollution de l'air, la majorité des politiques ne font strictement rien, préférant croire que l'augmentation de la durée de vie provoque mécaniquement une augmentation du nombre des cancers, alors que cet effet (qui est bien réel, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit) n'y entre que pour une part absolument marginale ! C'est bien la pollution de l'air et l'exposition croissante des populations à des produits chimiques toxiques qui provoque ces nouveaux cancers.
Dans ces produits chimiques, nombreux sont ceux qui sont simplement des produits de la vie quotidienne : parfums, aérosols, détergents, antiseptiques, désodorisants... Et ne parlons pas des matériaux de construction, le scandale de l'amiante est bien connu. Contrairement à ce que l'on peut croire, aucun de ces produits n'est testé avant sa mise sur le marché pour ses effets cancérigènes. Par exemple les fabricants de cosmétiques testent l'innocuité de leur produit sur la peau, mais non les effet à long terme de l'ingestion par les poumons de leurs molécules. Ils se contentent de vérifier (et encore pas toujours) que les composants chimiques de leur produit n'appartiennent pas à une liste de molécules reconnues comme toxiques ou cancérigènes.
Le problème c'est que les pouvoir publics ont toujours un temps de retard, et qu'il est absolument impossible de connaître les effets à long terme des millions de molécules qui apparaissent tous les ans sur le marché On atteint là les limites du principe de précaution, principe très joli en théorie mais qui ne peut être appliqué partout en raison du coût exorbitant que cela aurait. Encore que... Il s'agit là d'une question de santé publique majeure, et pourtant la politique de l'autruche et la dilution des responsabilités sont la règle.
Pourtant il y a des faits qui sont connus. Dans l'air que nous respirons, même en plein coeur de notre doulce province française, se trouvent en quantité mesurable des molécules de dioxine, et même de plutonium, produits qui sont reconnus pour être hautement toxiques même en quantité microscopique. Plus grave, la quantité de dioxine dans l'air augmente de plus en plus vite, et particulièrement en France.
Pourquoi ? Parce que la France, sommée de fermer à ses innombrables décharges d'ordures à ciel ouvert (ce qui est a priori quelque chose de positif), a choisi d'encourager la voie du "tout incinérateur", et que ces derniers se multiplient comme des petits pains sur notre territoire. Or ces incinérateur, même les plus modernes, produisent des quantité énorme de dioxine. Vous me direz : "mais que pouvait-on faire d'autre ?", et c'est une question pertinente qui mérite qu'on s'y penche un peu :
Il faut donc que l'équation PVC+INCINÉRATION=DANGER mortel de cancer par la dioxine soit bien ancrée dans la tête du public ! Refusons les produits en PVC ! Installons des fenêtres en bois ou en alu !
Mais voyons tout cela en détail :
L'atmosphère de la terre est composée à plus de 98% d'air sec, et de 2% de vapeur d'eau. L'air Sec est lui même composé de 78,09% d'azote (Symbole : N), de 20,94% d'oxygène (plus précisément de dioxygène : symbole O2), et d'autres gaz en quantité bien plus faible (< 1%) : ce sont l'argon, le gaz carbonique, l'hydrogène, l'hélium....)
L'atmosphère devient de moins en moins dense lors qu'on s'élève : 99% de sa masse se trouve en dessous de 30 Km. A partir de 100 Km d'altitude, la pression devient tellement faible qu'on peu parler du "vide" spatial. Il reste quand même suffisamment de molécules à cette altitude pour freiner considérablement les satellites artificiels, qui ne peuvent "durer" que quelques jours à 100 Km d'altitude. Le vrai vide spatial commence en fait à 500 Km : là, les satellites peuvent rester plusieurs décennies avant de retomber.
La température de l'air au niveau du sol est d'environ 15° en moyenne. Elle décroît quand on monte : plus précisément, elle diminue de 1°C quand l'altitude s'accroît de 160 m. A 1600 m d'altitude, il fait donc (en moyenne) 10° de moins qu'au niveau de la mer.
Toutefois, à partir d'une certaine altitude, la température recommence à augmenter. Cette altitude définit précisément le sommet de la troposphère et le début de la stratosphère. Elle se situe à 8000 m et - 50°C dans les régions polaires, et monte jusque 17 km et -80°C à l'équateur. Au dessus de la France, la stratosphère commence à 11 km et -56°C en moyenne. Dans la stratosphère, la température remonte progressivement lorsqu'on s'élève, jusqu'à une altitude de 50 Km et une température de 0°C Au delà commence la mésosphère, puis la thermosphère.
Il arrive parfois que la température remonte lorsqu'on s'élève, même à basse altitude, et parfois même au niveau du sol. On parle alors d'inversion de température. Cela arrive en particulier souvent en hiver lorsque il fait beau la nuit et que le sol se refroidit (par rayonnement) plus vite que l'air. Les polluants émis par les activités humaines sont alors piégées par cette inversion de température et se concentrent rapidement : paradoxalement, en hiver, c'est lorsqu'il fait beau que le risque de pollution est le plus important !
Comme l'air se déplace (à cause du vent), on distingue trois échelles de pollution :
La pollution de l'air a un impact sur la santé. Certaines populations y sont plus sensibles : les enfants, les personnes âgées, les insuffisants cardiaques et respiratoires, les asthmatiques et les personnes atteintes de bronchites chroniques.
A court terme, les polluants peuvent provoquer une inflammation des muqueuses respiratoires, et favoriser l'apparition d'autres pathologies. Les symptômes ressentis sont des rhinites, de la toux, parfois des crises d'asthme. A long terme, la pollution chronique favoriser la poursuite de l'inflammation des bronches. Le risque de cancer est rarement évoqué par les autorités, mais il est réel pour certains types de pollution (comme la pollution à la dioxine)
La pollution a également des effets sur la faune et la flore : on peut observer des nécroses, une croissance amoindrie des végétaux ou une fragilité à certaines infections. Au niveau régional, les polluants (notamment le soufre) participent à la formations de pluies acides qui détruisent les forêts (cela à été le cas en France et Allemagne dans les années 80) : ces effets sont nottamment dûs à trois polluants : les oxydes d'azote (NOx), le dioxyde de soufre (SO2) et l'ozone (03)
Enfin la pollution participe à la dégradation des bâtiments : corrosion due au dioxyde de Souffre (SO2) , noircissement, encroûtement par des poussières. C'est pour cela qu'il faut sans arrêt ravaler nos cathédrales et nos bâtiments historiques, c'est pour cela que toutes les villes sombrent peu à peu dans la grisaille...
Les principaux pollants de l'air sont :
C'est le principal composant des pollutions "acides". Le SO2 provient à plus de 85% de l'utilisation des combustibles contenant du soufre (fuel et charbon).
Le dioxyde de soufre irrite les muqueuses, la peau, et les voies respiratoires supérieures. Il agit en combinaison avec d'autres substances, notamment avec les fines particules. Comme tous les polluants, ses effets sont amplifiés par le tabagisme.
Au contact de l'humidité de l'air, le SO2 se transforme en acide sulfurique et participe au phénomène des pluies acides. Il contribue également à la dégradation de la pierre et des matériaux de nombreux monuments.
Le monoxyde d'azote (NO) et le dioxyde d'azote (NO2) résultent de la combinaison de l'Azote et de l'Oxygène à haute température. Environ 95% de ces émissions sont dûs à la combustion des combustibles fossiles (pétrole, charbon, gaz naturel). Le trafic routier en est la source principale (59 %).
Le dioxyde d'azote est un gaz irritant pour les bronches. Chez les asthmatiques, il augmente la fréquence et la gravité des crises. Chez l'enfant, il participe aux infections pulmonaires. Bref, c'est une belle saloperie. Sans oublier qu'il contribue lui aussi aux pluies acides, et à la formation de l'ozone troposphérique dont il est un précurseur. (A basse altitude, l'ozone est un polluant, même si à très haute altitude il nous protège des rayons ultra-violets solaires : ces deux ozones, bien que de même formule chimique, ont des origine qui n'ont rien à voir). Enfin, comme si cela ne suffisait pas le dioxyde d'azote est un gaz à effet de serre.
On englobe sous ce terme des composés chimiques que l'on rencontre dans l'atmosphère, les principaux sont des hydrocarbures. Les trois sources principales sont le trafic routier (39 %), l'utilisation domestique ou industrielle de peintures, vernis, colle, etc... dont les solvans s'évaporent au cours du séchage, et les rafineries pétrolières. Même les peintures "sans odeur" en contiennent, c'est pourquoi il faut toujours aérer pendant plusieurs jours les pièces que l'on vient de repeindre.
Conjointement avec les oxydes d'azote et le monoxyde de carbone, les COV contribuent àla formation de l'ozone troposphérique : d'où les trop fréquentes alertes à la pollution par l'ozone de nos cités, en particulier en été.
Les BTX (appelation regroupant le benzène, le toluène et les xylènes) , qui sont des "hydrocarbures aromatiques monocycliques" (j'aime la poésie avec laquelle les chimistes nomment les merdes qu'ils produisent) entrent dans la composition des carburants et se retrouvent dans l'atmosphère soit après combustion, soit par l'évaporation des reservoirs des véhicules et des stations-services (qui sont des sources importantes de pollution de l'air, et de l'eau aussi d'ailleurs)
Les effets des COV sur la santé sont très variables. Cela va d'une simple gène olfactive (ça pue) à des effets mutagènes et cancérigènes pourle benzène et certains "hydrocarbures aromatiques polycycliques", en passant par des irritations diverses et une diminution de la capacité respiratoire. Les COV interviennent également dans la formation de l'ozone troposphérique dans la basse atmosphère, et, de manière surprenante, dans la destruction de la couche d'ozone à haute altitude (la couche d'ozone stratosphérique).
Les particules de poussières ont pour origine les différentes combustions (celle du gazole en particulier), et les industries. On peut citer les poussières issues de carrières et des cimenteries, ainsi que celles issues de l'usure des revètements des routes et des pneus, et enfin, de l'érosion.
Elles sont de nature très diverse et peuvent véhiculer d'autres polluants comme les métaux lourds et les hydrocarbures, qui s'accrochent à ces particules. Elles sont très petites, ce qui les rend invisibles. Si leur diamètre moyen est inférieur à 10 micromètres, elles restent en suspension dans l'air. Lorsqu'elles sont plus grosses, elles se déposent plus ou moins vite et plus ou moins loin de la source d'émisssion. Les effets de salissure des bâtiments sont les atteintes plus plus voyantes de ces poussières. Mais elle sont également dangereuses pour la santé.
Selon leur taille, les particules pénètrent plus ou moins vite dans les poumons. Les plus fines peuvent, même à basse concentration, irriter les poumons et altérer la fonction respiratoire dans son ensemble.
Certaines particules sont très dangereuses, avec des effets mutagènes et cancérigènes.
L'ozone troposphérique (au niveau du sol) n'est pas produit directement par les industries humaines, mais par l'action des rayons ultraviolets du soleil sur les polluants primaires que sont les oxydes d'azote, les composés organiques volatils et le monoxyde de carbone. C'est pourquoi on dit qu'il est un "polluant secondaire". C'est néammoins l'un des polluants les plus dangereux.
L'ozone est un gaz incolore et agressif qui pénètre facilement jusqu'aux voies respiratoires les plus fines. Il provoque toux, altération pulmonaire, et irritations oculaires. Ses effets sont très variables sur les individus. Il également un effet nefaste sur la végétation (on a prouvé que l'ozone diminuait le rendement des cultures !) et sur certains matériaux comme le caoutchouc, qu'il décompose. Enfin comme si cela ne suffisait pas, il contribue à l'effet de serre et aux pluies acides.
Signalons en passant que ceux qui vivent dans une rue bordée d'arbres se croient à l'abris de la pollution, et croient avoir droit à plus d'oxygène, alors qu'en fait les arbres émettent très peu d'oxygène, et que les branches et les feuilles empèchent les polluants de se disperser au dessus des toits et concentrent en fait les polluants... Attention, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, il ne faut pas couper les arbres en ville ! Mais il faut savoir la vérité... La meilleure solution, c'est de faire des rues bordées d'arbres des rues piètonnes.
La pollution de l'air est insidieuse, car souvent elle ne se voit pas : ainsi les tracteurs agricoles modernes sont tous munis d'une cabine, et l'air intérieur est y filtré, afin soit-disant que les nos paysans ne souffrent pas des pesticides et autres saloperies qu'ils déversent pourtant sur notre bouffe. Eh bien, ces filtres concentrent en fait les polluants, et les cabines "isolées" sont en fait plus polluées que celles des tracteurs plus "ouverts"... Les fabricants de tracteurs ont-ils mis nos agriculteurs en garde ? Que nenni... La leçon à retenir est : changez souvent vos filtres à air !
Le monoxyde de carbone provient des combustions incomplète. Comme aucune combustion n'est complète à 100% en pratique, cela fait un paquet de sources. Il est émis en grande partie (59%) par le trafic routier, et par le chauffage des habitations (21%), mais aussi par les industries et l'agriculture.
On le rencontre essentiellement au voisinage des sources d'émission. Dans l'atmosphère, il se combine avec l'oxygène pour former du dioxyde de carbone (CO2, principale cause de l'effet de serre) et de l'ozone.
Le CO se fixe à la place de l'oxygène sur les globules rouges du sang, conduisant à un manque d'oxygènation qui peut porter atteinte au système nerveux, au coeur, aux vaisseaux sanguains. Les premiers symptômes sont des maux de tête et des vertiges. Ensuite viennent des nausées et parfois des vomissements, puis le coma et la mort.
Cela peut sembler étrange que l'air qui nous entoure puisse contenir des métaux lourds, mais c'est pourtant vrai. Dans l'air, les particules de poussières sont souvent entourés de milliards d'atomes de ces métaux, qui se baladent tranquillement jusque dans vos poumons.
On désigne sous le terme de "métaux lourds" l'ensemble des métaux présentant un caractère toxique pour la santé. Ils proviennent essentiellement de la combustion du charbon, de pétrole et des ordures ménagères (et coucou, revoila ces maudits incinérateurs). Parmis ces métaux, on peut citer le plomb, le mercure, le cadmium, le zinc, le nickel et le plutonium (eh oui, le plutonium, en plus dêtre radioactif, est extraordinairement toxique pour l'être humain : un miligramme suffit à le tuer...)
Une fois respirés, ces métaux s'accumulent dans nos jolis poumons et provoquent des effets toxiques à court et long terme. Ils peuvent affecter le système nerveux, les fonctions rénales, hépatiques, respiratoires, ou autres (j'aime bien le "ou autres" : une fois que tout ça est contaminé, que reste-il de notre santé ?). Les métaux toxiques contaminent le sol et les aliments. Il s'accumulent dans les organismes vivants et perturbent les équilibres biologiques. Certains lichens ou mousses sont couramment utilisés comme "indicateurs biologiques" de pollution aux métaux lourds.
C'est évidemment la première cause de pollution de l'air à laquelle on pense. Les "alertes à l'ozone", de plus en plus fréquentes dans nos grandes villes, sont là pour en témoigner. Les mesures palliatives (réduction de la vitesse, encouragement à prendre les transports en commun) ont un effet dérisoire (c'est le vent qui chasse l'ozone, pas le résultat de ces petites actions), elles ont au moins le mérite d'exister, ce qui n'est pas le cas dans d'autres pays, par exemple en Asie, qui sont particulièrement exposés à cette pollution par l'automobile.
Savez vous qu'il existe, au dessus de l'Asie du sud Est, un immense "nuage brun" de pollution, bien visible sur les photos satellites, dont la densité est telle qu'elle diminue la quantité de lumière solaire reçue au sol et affecte déjà les rendements agricoles en chine et en inde ?
Je pense qu'il faut expliquer que l'ozone (O3), est un gaz toxique produit majoritairement par l'échappement des voitures. Cet ozone là, plus lourd que l'air, reste près du sol, et il n'a rien à voir avec la couche d'ozone, située en très haute altitude, qui nous protège des rayonnement ultraviolets du soleil. L'ozone de cette fameuse couche a une origine naturelle, il est produit (très lentement) par l'action de ces mêmes rayons ultraviolet solaires sur les molécules d'oxygène de l'air stratosphérique. Le paradoxe est que l'ozone produit par les voitures est dangereux pour notre santé, alors que celui situé dans la haute athmosphère nous protège. Mais ces deux "couches" sont séparées par des kilomètres d'atmosphère dans le plan vertical et n'interagissent pas. Il faut donc agir sur les deux plans : en diminuant les émissions d'ozone au niveau du sol, et en diminuant également les émissions de gaz comme les fameux CFC qui migrent dans la stratosphère et y détruisent la couche supérieure d'ozone, protectrice.
Pour diminuer la pollution (ozone, micro particules, et bien sur CO et CO2) produits par les véhicules, il n'y a pas 36 solutions : il faut diminuer le nombre de ces véhicules ! Un autobus pollue bien sur plus qu'une voiture, mais quand on rapporte cette pollution au nombre de passagers, on se rend compte que l'air de nos ville serait un air presque totalement pur si tout le monde prenait le bus !
Naturellement il ne va pas de soi de changer ses habitudes lorsqu'on mesure les inconvénients qu'il peut y avoir à prendre les transports en commun par rapport au confort douillet de sa petite bagnole. Mais ces inconvénients (nombre de lignes insuffisantes, attentes interminables aux arrêts, correspondances, bus surchargés) ne résultent que de l'absence de volonté RÉELLE et FORTE de nos municipalités. Il suffit pour s'en convaincre de regarder ce qui s'est produit récemment dans certains pays comme le Mexique, où plusieurs villes se sont dotés de réseaux de bus très performants (et rentables !), tout en interdisant les centre villes aux voitures et en multipliant les espaces verts ! Pourquoi ce qui est possible au Mexique ne le serait-il pas en France ?
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